Première neige à Montréal
Et quelle neige !
A l’instant, assis tranquillement à mon bureau et travaillant mes examens de mi-semestre, quelle n’est pas ma surprise lorsque je lève le nez de mes bouquins.
A travers la grande fenêtre de ma chambre, je vois la Neige.
A l’instant, assis tranquillement à mon bureau et travaillant mes examens de mi-semestre, quelle n’est pas ma surprise lorsque je lève le nez de mes bouquins.
A travers la grande fenêtre de ma chambre, je vois la Neige.
J’étais prévenu que je la rencontrerai souvent en venant au Canada, mais Mademoiselle pour sûr sait comment surprendre ses invités.
Furtivement, sur la pointe des pieds, elle vient d’ouvrir le bal dont elle est la reine, et qui sera notre quotidien pour les six prochains mois.
Déja elle tourbillonne, elle virevolte entre les mains expertes de son cavalier, le Vent. Il ne fait que l'effleurer, mais cette caresse suffit à la projeter avec encore plus de légèreté que s’il s’agissait d’une plume.
Ils se frôlent, s'évitent, mais en plus d’impatiente, la voila impulsive soudainement, elle est déjà repartie… puis revenue.
Elle a son caractère cette femme là, il est normal qu’elle soit du genre féminin, au moins en français.
On est plutôt en froid en ce moment, la Neige de Douai n’était pas à mon goût… Heureusement, j’ai ouï-dire que celle-ci, bien que glacée, est beaucoup plus belle et pure.
J’aurai tout le temps d’apprendre à la connaître cette année, et qui sait, peut être même, de l’apprivoiser. Alors courage, à moi de faire le premier pas...
Furtivement, sur la pointe des pieds, elle vient d’ouvrir le bal dont elle est la reine, et qui sera notre quotidien pour les six prochains mois.
Déja elle tourbillonne, elle virevolte entre les mains expertes de son cavalier, le Vent. Il ne fait que l'effleurer, mais cette caresse suffit à la projeter avec encore plus de légèreté que s’il s’agissait d’une plume.
Ils se frôlent, s'évitent, mais en plus d’impatiente, la voila impulsive soudainement, elle est déjà repartie… puis revenue.
Elle a son caractère cette femme là, il est normal qu’elle soit du genre féminin, au moins en français.
On est plutôt en froid en ce moment, la Neige de Douai n’était pas à mon goût… Heureusement, j’ai ouï-dire que celle-ci, bien que glacée, est beaucoup plus belle et pure.
J’aurai tout le temps d’apprendre à la connaître cette année, et qui sait, peut être même, de l’apprivoiser. Alors courage, à moi de faire le premier pas...
...Bienvenue, Ma Dame.
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Ca tombe dru, les flocons sont énormes.
Il fait 3° avec une température ressenti de -2°.
Il est 17H, nous sommes le 20 octobre..........
Il fait 3° avec une température ressenti de -2°.
Il est 17H, nous sommes le 20 octobre..........
posted by laurent at 7:07 PM
3 Comments:
Un poète disparu... sous la neige ?... sous la neige, ça risquait d'arriver, vu la destination québecquoise de Laurent ! Par contre, ô surprise, je découvre un fils poète... On attend la suite!
C'est Arcade Fire qui te donne des envolées poétiques? Ou bien ton ongle incarné....claaaaaaaasse!
Ni l'un ni l'autre, mais malheureusement (ou peut-être heureusement, je n'ai toujours pas d'avis arrêté sur la question) pour moi, quand j’étudie, j'ai tendance à penser à tout sauf à mon travail... un chapelet de pensées dont voila un aperçu qui ont un début, un ordre, mais souvent pas de fin, et qui nous ramène tristement toujours au point de départ – devant les livres de cours ;)
toi-même tu sais (© Mc Solaar )
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